L'Ultima difesa pontificia di Ancona . Gli avvenimenti 7 -29 settembre 1860

Investimento e Presa di Ancona

Investimento e Presa di Ancona
20 settembre - 3 ottbre 1860

L'Ultima difesa pontificia di Ancona 1860

L'Ultima difesa pontificia di Ancona 1860
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Onore ai Caduti

Onore ai Caduti
Sebastopoli. Vallata di Baraclava. Dopo la cerimonia a ricordo dei soldati sardi caduti nella Guerra di Crimea 1854-1855. Vedi spot in data 22 gennaio 2013

Il combattimento di Loreto detto di Castelfidardo 18 settembre 1860

Il combattimento di Loreto detto di Castelfidardo 18 settembre 1860
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La sintesi del 1860

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Il combattimento di Loreto, detto di Castelfidardo 18 settembre 1860

Il Volume di Massimo Coltrinari, Il Combattimento di Loreto detto di Castelfidardo, 18 settembre 1860, Roma, Edizioni Nuova Cultura, 2009, pagine 332, euro 21, ISBN 978-88-6134-379-5, è disponibile in
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domenica 9 gennaio 2011

Biografia Famiglia De La Moriciére I

En 1873, Anicet Marie Aymar, comte de Dampierre, fils du marquis Elie, épousa Marie-Isabelle, la plus jeune fille du général de Lamoricière.


La famille de Juchault de Lamoricière et des Jamonières, originaire du comté de Nantes, aurait pour auteur René Juchault, notaire royal au XVIe siècle, dont la postérité se divisa en deux branches. L'aînée dite des Blottereaux s'éteignit au XVIIIe siècle. La cadette eut pour auteur Claude Juchault, seigneur du Perron, secrétaire en la Chambre des comptes de Bretagne, et dont le fils Christophe Juchault, seigneur de Lorme, maître en la Chambre des comptes de Bretagne, fut maintenu dans sa noblesse en 1669. Le mariage du fils de Christophe, lui aussi prénommé Christophe Juchault, seigneur de Lorme, avec Geneviève-Marquise-Prudence Bouhier de La Verrie, en 1703, fit entrer dans la famille Juchault les seigneuries de Lamoricière, des Jamonnières et du Piépain. De cette union naquirent deux fils. Le cadet, Louis Marie Juchault, seigneur des Jamonnières fut l'auteur de la branche des Juchault de Jamonières. L'aîné, Christophe Prudent Juchault (1729-1792), seigneur de Lamoricière et de Monceaux, épousa Marie-Félicité du Chaffault. Lorsqu'éclata la Révolution, Christophe-Prudent Juchault servait dans les mousquetaires du roi. Son corps dispersé, il rejoignit l'armée de Condé avec ses deux fils. Il mourut en 1792, ainsi que son fils aîné. Le cadet, Christophe-Sylvestre-Joachim, passa en Angleterre, à Jersey, débarqua à Granville, rentra en Anjou puis alla rejoindre l'armée de Charette. Ses biens étant placés sous séquestre, Sylvestre de Lamoricière ne possédait plus que la chapelle du Chaffault, à Saint-Philbert-de-Grandlieu.

Après la pacification de la Vendée, Sylvestre de Lamoricière (1774-1821) épousa Louise-Sophie-Désirée Robineau de Bougon et put ainsi racheter sa terre de Lamoricière. Ils eurent trois enfants : Christophe-Louis-Léon, le futur général, une fille qui ne vécut pas longtemps, et un deuxième fils, Joseph, surnommé Josi, qui fut secrétaire d'ambassade au Mexique et qui mourut de la fièvre jaune, en 1838, à bord d'un vaisseau de la flotte française qui bloquait la Vera-Cruz.

Christophe-Louis-Léon Juchault de Lamoricière naquit à Nantes, le 5 février 1806. Après des études au collège de Nantes, il monta à Paris pour préparer l'Ecole polytechnique, car il voulait, comme ses oncles maternels, devenir officier du génie. A la pension Lecomte, il se lia avec Gustave d'Eichtall, qui lui donna comme répétiteur Auguste Comte, et Kergorlay, qui le mit en relation avec Alexis de Tocqueville. Admis en 1824 à l'Ecole polytechnique, élève sous-lieutenant à l'école d'application de l'artillerie et du génie de Metz en 1826, Léon Juchault de Lamoricière fut promu lieutenant en second au 3e régiment du génie, le 31 janvier 1829. Officier d'état-major de cette arme, il fut attaché à la division du général duc des Cars grâce au père de son ami de Kergorlay, pair de France, et il débarqua le 14 juin 1830 à Sidi-Ferruch avec le corps expéditionnaire du maréchal Bourmont. Ce fut lui qui planta le drapeau français sur la Casbah d'Alger. Sympathisant saint-simonien, Lamoricière se passionna pour les hommes et les coutumes de l'Algérie et apprit l'arabe. Ses qualités le firent remarquer du commandement. Ainsi, lorsque Bourmont puis Clauzel mirent sur pied des troupes auxiliaires indigènes recrutées parmi les tribus berbères Zouawa de Kabylie, au début de 1831, Léon de Lamoricière fut affecté au 2e bataillon des zouaves, dont il devint peu à peu le grand spécialiste. Capitaine le 1er novembre 1830, chef de bataillon le 2 novembre 1833 et lieutenant-colonel commandant l'ensemble du corps des zouaves le 31 décembre 1835, il fit de cette troupe un corps d'élite. C'est de Lamoricière que les zouaves reçurent leur costume définitif : une molletière de cuir, une grande ceinture de laine rouge et une chechia ou bonnet rouge à gland bleu.

A la fin de 1833, en raison de la connaissance qu'il avait acquise des différents dialectes arabes, Lamoricière fut nommé directeur du premier " bureau arabe ", créé par le général Avizard pour traiter toutes les affaires indigènes, observer journellement la situation du pays et s'inquiéter des besoins de la population. La confiance avec laquelle Lamoricière se présentait au milieu des Arabes, une simple canne à la main, gagna peu à peu les tribus voisines, et comme il appuyait parfois ses raisons de coups de canne, on ne le connut plus que sous le nom de " Bou-Arona " (père du bâton). Chargé de reconnaître Bougie, Lamoricière monta lui-même à l'assaut de la place, en septembre-octobre 1833, et il fut promu colonel à la suite du siège de Constantine, où il s'était distingué et avait été blessé par l'explosion d'une mine, en octobre-novembre 1837. Rappelé à Paris en 1839, renvoyé en Afrique en 1840, Lamoricière prit part au combat de Mouzaïa, en mai, et fut promu maréchal de camp, le 21 juin. Mis à la tête de la division d'Oran alors que Cavaignac lui succédait à la tête du corps des zouaves, il mérita par son courage dans l'expédition de Mascara un éloge particulier du maréchal Bugeaud (5 juin 1841) pour ses talents d'administrateur et sa bravoure militaire. Habile à la guerre de surprises, il ravitailla Mascara malgré les troupes d'Abd-el-Kader et il obligea la tribu des Flittas à se soumettre, ce qui lui valut d'être nommé lieutenant général, le 9 avril 1843. Le 30 mai 1844, il repoussa une importante attaque contre le camp de Lalla-Maghnia menée par les Marocains dont Abd-el-Kader avait obtenu le soutien, et il fut fait commandeur de la Légion d'Honneur. Le 14 août 1845, il contribua, pour une large part, à la victoire d'Isly contre les Marocains. En novembre 1845, il reçut de Bugeaud, qui se rendait en France, le commandement intérimaire de l'Algérie. La colonisation de l'Algérie rencontrait alors à la Chambre une vive opposition. Lamoricière qui avait de son côté des idées personnelles sur le système de colonisation, résolut de les porter à la tribune, et dans ce but, se présenta aux élections générales du 12 août 1846, dans le premier arrondissement de Paris, comme candidat de l'opposition modérée ; mais il échoua avec 493 voix contre 750 à Casimir Périer. Il se représenta le 10 octobre 1846 dans le 4e collège de la Sarthe (Saint-Calais) qui avait à pourvoir au remplacement de Gustave de Bourmont. Il fut élu cette fois par 207 voix sur 369 votants et 408 inscrits, parla à la Chambre de l'organisation de l'Algérie et de l'avancement des officiers nommés à des fonctions spéciales. Il ne tarda pas à retourner en Afrique. Le 23 octobre 1847, quatre ans après la prise de la smala d'Abd-el-Kader, Lamoricière reçut l'épée de l'émir, au nom du duc d'Aumale, pour un temps gouverneur de l'Algérie.

La révolution de 1848 accéléra la carrière politique de Lamoricière. Fait grand officier de la Légion d'Honneur le 14 janvier 1848, il fut compris dans la combinaison ministérielle Odilon Barrot-Thiers proposée in extremis par Louis-Philippe pour apaiser le mécontentement populaire (24 février). Ce fut lui qui, en uniforme de la garde nationale dont il venait de recevoir le commandement, fut chargé d'annoncer aux insurgés la constitution du nouveau ministère. Mais à la première barricade, on refusa de l'écouter et de le laisser passer. Après l'abdication, il voulut encore annoncer aux insurgés la régence de la duchesse d'Orléans. Son cheval tomba, frappé de balles, et lui-même fut blessé d'un coup de baïonnette. Lamoricière adhéra au gouvernement provisoire mais refusa le portefeuille de la Guerre qui lui était proposé. Elu le 23 avril député de la Sarthe à l'Assemblée constituante, il siégea parmi les partisans de Cavaignac et fit partie du comité de la Guerre. Cavaignac, chargé par la commission pour le pouvoir exécutif de rétablir l'ordre, le plaça avec le général Bedeau à la tête des 23 000 soldats et des 12 000 gardes mobiles rassemblés pour faire face aux émeutes des 23, 24 et 25 juin. Le 28, Cavaignac rendit ses pleins pouvoirs. La commission pour le pouvoir exécutif céda la place à un Président du Conseil élu par les députés, mais libre de choisir ses ministres. Président du Conseil, Cavaignac confia le ministère de la Guerre à Lamoricière, le 28 juin. Celui-ci put alors faire prévaloir ses idées sur l'Algérie. Il fit voter un crédit de 50 millions pour la création de colonies agricoles, en opposition avec les colonies militaires jusqu'en ici en faveur, créa une commission de révision de la législation dans la colonie, fit payer les indemnités dues depuis le début de la conquête aux indigènes pour les expropriations, fit mettre en place des municipalités, créa des préfectures et fit prévaloir le régime civil.

Ayant pris position contre la candidature du prince Louis-Napoléon à la présidence de la République, Lamoricière dut quitter son ministère dès le 20 décembre. Il retrouva son siège de député de la Sarthe aux élections générales du 13 mai 1849 et se vit confier une mission extraordinaire en Russie auprès du tsar, qui appuyait alors l'Autriche en guerre contre la Hongrie révoltée. Mais la chute du ministère Odilon Barrot lui fit donner sa démission d'envoyé à Saint-Pétersbourg et le général revint siéger à l'Assemblée. Arrêté dans la nuit du 2 décembre 1851, Lamoricière fut incarcéré à Mazas, puis à Ham, et en vertu du décret du 9 janvier 1852, il fut banni et conduit à Cologne. Il refusa en termes très vifs, par une lettre publiée dans la presse (mai), le serment réclamé par le nouveau gouvernement aux officiers qui voulaient rester en activité, et il résida successivement à Bruxelles, Coblence, Mayence, Wiesbaden et Ems. Il avait déjà perdu sa fille aînée en février 1850 ; il fut autorisé à revenir en France après la mort de son fils cadet, Michel, en 1857.

Resté en France, Lamoricière accueillit, en 1860, les ouvertures de son cousin, Monseigneur Xavier de Mérode, ministre des armées du gouvernement pontifical, qui avait persuadé le pape Pie IX de lui offrir le commandement en chef des armées pontificales. Après avoir demandé et obtenu l'autorisation de Napoléon III, le général prit possession de son commandement (8 avril 1860), se trouva en lutte avec le cardinal Antonelli et parvint à rassembler une armée de 16 000 hommes, constituée en majorité de volontaires français et belges qui servirent dans les " zouaves pontificaux ". Mais il se fit battre par l'armée piémontaise à Castelfidardo (18 septembre 1860) et à Mentana (3 novembre 1860). Assiégé dans Ancône, il dut capituler devant l'amiral Persano et fut laissé en liberté à condition de ne pas porter les armes contre les troupes piémontaises pendant un certain temps. De retour à Rome, il s'occupa encore de réformes militaires et publia un rapport qui mettait à nu le désordre administratif du gouvernement pontifical. Le général de Lamoricière se retira alors dans son château de Prouzel, près d'Amiens (Somme), où il mourut le 11 septembre 1865. Lamoricière fut inhumé dans la chapelle de famille, à Saint-Philbert-de-Grandlieu. Après la prise de Rome en 1870, les zouaves pontificaux français passèrent au service de la France.

Dès 1866, une souscription fut lancée à l'initiative du général Changarnier pour faire édifier un tombeau à la gloire de Lamoricière dans la cathédrale Saint-Pierre de Nantes. Ce monument - un cénotaphe en réalité - fut élevé en 1879 dans le transept nord. Conçu Voir le tableau généalogique numéro 8 (famille Juchault de Lamoricière)

En 1873, Anicet Marie Aymar, comte de Dampierre, fils du marquis Elie, épousa Marie-Isabelle, la plus jeune fille du général de Lamoricière.

La famille de Juchault de Lamoricière et des Jamonières, originaire du comté de Nantes, aurait pour auteur René Juchault, notaire royal au XVIe siècle, dont la postérité se divisa en deux branches. L'aînée dite des Blottereaux s'éteignit au XVIIIe siècle. La cadette eut pour auteur Claude Juchault, seigneur du Perron, secrétaire en la Chambre des comptes de Bretagne, et dont le fils Christophe Juchault, seigneur de Lorme, maître en la Chambre des comptes de Bretagne, fut maintenu dans sa noblesse en 1669. Le mariage du fils de Christophe, lui aussi prénommé Christophe Juchault, seigneur de Lorme, avec Geneviève-Marquise-Prudence Bouhier de La Verrie, en 1703, fit entrer dans la famille Juchault les seigneuries de Lamoricière, des Jamonnières et du Piépain. De cette union naquirent deux fils. Le cadet, Louis Marie Juchault, seigneur des Jamonnières fut l'auteur de la branche des Juchault de Jamonières. L'aîné, Christophe Prudent Juchault (1729-1792), seigneur de Lamoricière et de Monceaux, épousa Marie-Félicité du Chaffault. Lorsqu'éclata la Révolution, Christophe-Prudent Juchault servait dans les mousquetaires du roi. Son corps dispersé, il rejoignit l'armée de Condé avec ses deux fils. Il mourut en 1792, ainsi que son fils aîné. Le cadet, Christophe-Sylvestre-Joachim, passa en Angleterre, à Jersey, débarqua à Granville, rentra en Anjou puis alla rejoindre l'armée de Charette. Ses biens étant placés sous séquestre, Sylvestre de Lamoricière ne possédait plus que la chapelle du Chaffault, à Saint-Philbert-de-Grandlieu.

Après la pacification de la Vendée, Sylvestre de Lamoricière (1774-1821) épousa Louise-Sophie-Désirée Robineau de Bougon et put ainsi racheter sa terre de Lamoricière. Ils eurent trois enfants : Christophe-Louis-Léon, le futur général, une fille qui ne vécut pas longtemps, et un deuxième fils, Joseph, surnommé Josi, qui fut secrétaire d'ambassade au Mexique et qui mourut de la fièvre jaune, en 1838, à bord d'un vaisseau de la flotte française qui bloquait la Vera-Cruz.

(Fine prima parte)

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